Dans la catégorie "Rendu le plus en retard des notes du premier semestre", les nominés sont :
- Lyon III (France)
- Delhi University (Inde)
- Lyon III (France)
- Delhi University (Inde)
Certains ne seront pas sans savoir que Lyon III, déjà habituellement pas très rapide en ce domaine, n'est toujours pas capable de donner un relevé de notes exhaustif à ses étudiants, les profs d'anglais n'ayant pas été payés par l'université. Par conséquent, pas de délibérations et une attente qui dure depuis le mois de janvier. Et bien à Delhi University, ils sont encore plus forts. Incroyable mais vrai.
Les mémoires que nous avions rendu en novembre (euh... voire décembre car j'étais un peu en retard) auraient été destinés à l'oubli, au fond d'un placard, sans intervention de notre part. Entre le doyen qui nous demande "Ah bon, mais il fallait les corriger vos mémoires ? Vous avez besoin de notes ! Vous ne nous l'aviez pas précisé...". Comme si nous avions travaillé des heures d' arrache-pied pour le plaisir d'une masturbation intellectuelle intense.
Depuis, je me suis rendu compte qu'habiter dans le Nord de Delhi présentait de nombreux avantages, dont le premier était de me trouver à 5 minutes de la fac' et donc de son administration (dont le seul membre "compétent" est le doyen). Depuis le mois de février, à part les quelques moments où je me suis absentée de Delhi, ma journée commence toujours pas une petite visite au doyen, qui se finit toujours par un échec total car soit il n'est pas là, soit il me dit que c'est "en cours". La procrastination, ça, je dois avouer que cela semble être son domaine de prédilection. J'ai usé de tous mes charmes, demandant gentiment, plus fermement, allant même jusqu'à pleurer (quelle actrice) dans le bureau de l'assistant du doyen ou bien à lui écrire de longues lettres (bureaucratie oblige) lui expliquant ma triste situation.
J'ai donc décidé de mentir effrontément et de dire que la date limite pour candidater en Master 2 était ce vendredi (donc demain), et que je devais ABSOLUMENT avoir mon relevé de notes au plus tard ce vendredi matin. Sinon, j'allais gâcher ma vie et que tout allait être de sa faute. Vous saurez bientôt si cela à fonctionné... En tout cas, j'ai bon espoir, et c'est la première fois depuis bien longtemps que j'entrevoie le bout du tunnel. J'ai débuté mes mémoires pour le second semestre et espère simplement ne pas avoir à vivre ce même cauchemar.
Les mémoires que nous avions rendu en novembre (euh... voire décembre car j'étais un peu en retard) auraient été destinés à l'oubli, au fond d'un placard, sans intervention de notre part. Entre le doyen qui nous demande "Ah bon, mais il fallait les corriger vos mémoires ? Vous avez besoin de notes ! Vous ne nous l'aviez pas précisé...". Comme si nous avions travaillé des heures d' arrache-pied pour le plaisir d'une masturbation intellectuelle intense.
Depuis, je me suis rendu compte qu'habiter dans le Nord de Delhi présentait de nombreux avantages, dont le premier était de me trouver à 5 minutes de la fac' et donc de son administration (dont le seul membre "compétent" est le doyen). Depuis le mois de février, à part les quelques moments où je me suis absentée de Delhi, ma journée commence toujours pas une petite visite au doyen, qui se finit toujours par un échec total car soit il n'est pas là, soit il me dit que c'est "en cours". La procrastination, ça, je dois avouer que cela semble être son domaine de prédilection. J'ai usé de tous mes charmes, demandant gentiment, plus fermement, allant même jusqu'à pleurer (quelle actrice) dans le bureau de l'assistant du doyen ou bien à lui écrire de longues lettres (bureaucratie oblige) lui expliquant ma triste situation.
J'ai donc décidé de mentir effrontément et de dire que la date limite pour candidater en Master 2 était ce vendredi (donc demain), et que je devais ABSOLUMENT avoir mon relevé de notes au plus tard ce vendredi matin. Sinon, j'allais gâcher ma vie et que tout allait être de sa faute. Vous saurez bientôt si cela à fonctionné... En tout cas, j'ai bon espoir, et c'est la première fois depuis bien longtemps que j'entrevoie le bout du tunnel. J'ai débuté mes mémoires pour le second semestre et espère simplement ne pas avoir à vivre ce même cauchemar.
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